vendredi 31 décembre 2010

Bilan de l'année 2010

L'année 2010 s'est achevée avec un sentiment d'accomplissement certain en matière de lecture (à défaut d'autre chose...). C'est une année record avec pas moins de 98 titres (sans compter les BD et mangas) au compteur. En général, ce genre de statistique ne m'intéresse guère car par exemple, j'ai lu des livres de plus de mille pages comme Le Piliers de la Terre mais aussi des livres très courts ou alors avec une pagination très aérée...On ne peut comparer l'incomparable ^^
Cette statistique est néanmoins intrinsèquement intéressante dans le sens ou je n'ai pas doublé, ni même triplé mais au moins quadruplé mon quota annuel.

J'ai toujours adoré la lecture mais avec les études, la vie associative et le travail entre autres, je n'en faisais pas ma priorité dans mes loisirs. En 2010, en grande partie grâce à livraddict auquel je dois beaucoup, j'ai pu partager cette passion et réciproquement, on m'a donné un élan de motivation supplémentaire. Cela m'a permis de dévorer certaines œuvres que je n'aurais jamais lu.

J'ai ainsi fait partie de nombreuses lectures communes, participé à quelques challenges ce qui m'a permis d'étendre mon répertoire qui se cantonnait auparavant principalement à la Science-Fiction et à la Fantasy.
La bit-lit fut l'un des genres que j'ai le plus lu. Pourquoi? Tout simplement car j'affectionne les vampires depuis très longtemps d'une part et d'autre part car ce sont des lectures légères et que parfois, cela s'impose :) Ce genre est trop souvent mésestimé à cause notamment d'aprioris non fondés. Cependant, comme pour tous les genres, il y a un tri à faire et bien entendu, tout ne peut pas être bon. Mercy Thomson est pour le moment la saga, selon moi, la plus intéressante.
Je me suis aussi essayé à quelques classiques de la littérature mais pour la plupart, je suis resté de marbre. Je vais persévérer dans cette volonté d'élargir ma culture mais en sélectionnant plus judicieusement mes titres.

J'ai essayé d'être persévérant sur certains titres déplaisants pour moi ou alors laborieux à lire comme le Nom de la Rose. Parfois, mon acharnement a payé dans le sens où je suis ressorti convaincu de mes lectures mais parfois, j'aurais dû arrêter... Cela fait partie du jeu :)

Voici maintenant les lectures qui m'ont marquées le plus dans un sens comme dans l'autre. J'aurais pu rajouter plus de titres (comme Le Portrait de Dorian Gray dans les déceptions) mais ces listes donnent déjà une idée :

Top du top 2010 :

3) Le Nom de la Rose d'Umberto Eco : Certes, cette lecture est des plus complexes et certains passages sont fastidieux mais le tout est incroyablement construit. Il se révèle être une mine d'informations si l'on s'intéresse un temps soit peu à l'histoire de la religion et de l'Inquisition.Je me suis vraiment régalé même si je reconnais avoir décroché sur les passages trop historiques...

2) Les Piliers de la Terre de Ken Follett: Une monumentale fresque qui, malgré sa longueur, s'avère être passionnante et prenante de bout en bout. Jamais je n'ai ressenti de longueur, j'ai adoré les personnages etc. Ken Follett est un auteur à suivre mais cela n'est plus à prouver!

1) Fils-des-Brumes, tome 1, L'Empire Ultime de Brandon Sanderson : Incontestablement le coup de cœur de l'année s'il fallait n'en retenir qu'un. Rarement un début de saga m'avait emballé de la sorte avec son intrigue à rebondissements multiples et ses personnages hauts en couleur. Sanderson est acclamé aux Etats-unis et se fait découvrir de plus en plus dans notre pays, pourvu que ça dure!!

Top du Flop 2010

3) La Nostalgie de l'Ange d'Alice Sebold : j'aime aller vers l'émotion et non l'inverse. Ici, on me l'a imposé avec un côté assez "voyeur" que je n'apprécie guère. La narration m'est apparue chaotique et j'en suis ressorti extrêmement déçu.

2) Imitation de The Harvard Lampoon : que ce soit dans les films, dans la musique ou dans les livres, il est toujours plus difficile de faire que de faire pleurer. Cela s'est vérifié avec cette pseudo-parodie composée d'un humour plus que lourd et d'une histoire insipide. Le filon financier Twilight est toujours en marche...

1) Et si c'était vrai? de Marc Levy : pour ceux qui ont lu mon article, je pense qu'il est inutile de rappeler une nouvelle fois tout ce qui m'a fait détester ce livre et pour les autres, je vous conseille vivement d'aller jeter un coup d'œil ici :)

Même si cet année s'annonce plus complexe sur le plan du rendement, j'espère faire des découvertes incroyables tout en ayant moins de déceptions.

Un grand merci à tous ceux qui me lisent !!

Bilan du Mois de Décembre 2010

Le mois de Décembre, côté lecture, fut sans doute le mois le plus étrange de l'année 2010. En effet, je n'ai pas eu l'impression de lire beaucoup mais c'est au total huit livres (auquel s'ajoutent trois BD et deux mangas) de plus qui s'ajoutent au compteur de cette fantastique année. Peu importe le nombre devrais-je dire... En plus, je n'ai que très peu de mérite puisque c'étaient principalement des oeuvres courtes ou écrites de manière légère.

J'étais très enthousiaste au début du mois puisque je l'ai entamé par des coups de coeur ou des romans s'en approchant à savoir : le quatrième de Mercy Thomson, tome que je considère comme étant le plus abouti pour le moment, puis le premier tome des Sept Royaumes qui, malgré du déjà vu, est agréable et efficace et enfin le baiser du Démon, début d'une saga Urban Fantasy/Science-Fiction prometteuse.
Malheureusement... Cela n'a pas duré! Pendant les Fêtes, je ne voulais pas de littérature complexe. J'ai cependant été déçu par le deuxième Percy Jackson, du moins, il ne fut pas à la hauteur de mes attentes. Ensuite, j'étais impatient de découvrir la saga de L'Epouvanteur mais pour une fois, le côté Jeunesse était trop marqué et il m'a manqué une petite étincelle pour accrocher. J'ai aussi été en Islande grâce à evertkhorus avec le roman La saga de Gunnlod, oeuvre classée en fantastique mais qui a été un relatif calvaire... Enfin... J'ai touché le fond, pas de la piscine comme aurait pu le dire Isabelle Adjani (hum), mais de mon dégoût d'un certain genre de littérature. Je parle du premier roman de Marc Levy, Et si c'était vrai? qui est de loin le livre que j'ai le plus détesté jusqu'ici. Dommage de finir l'année sur une touche si désastreuse.
Heureusement, j'ai réussi à entrecouper ses lectures passables par deux livres que j'ai beaucoup aimé : le tome deux des Dossiers Dresden, saga d'Urban Fantasy légère mais intéressante mais surtout Roméo et Juliette, classique qui m'a en partie réconcilié avec le théâtre grâce à une plume fabuleuse. C'était d'ailleurs mon premier Shakespeare et je renouvellerai l'expérience.

J'espère que le mois de Janvier 2011 sera moins en dents de scie mais en tout cas, merci à tous ceux qui me suivent!

Et si c'était Vrai? de Marc Levy






Résumé
: Lauren est dans le coma, c'est indéniable. Mais elle est aussi dans le placard d'Arthur, un peu comme un fantôme, cela est tout aussi indéniable... Arthur, en tout cas, est bien obligé de l'admettre : il la voit, l'entend, la comprend et finit même par l'aimer. Mais que peut-on espérer d'un fantôme que l'on est le seul à distinguer ? On ne tombe pas amoureux d'un mirage, on ne force pas son meilleur ami à dérober une ambulance pour kidnapper un corps dans le coma, on ne ment pas à la police pour sauver une ombre, et pourtant...
Marc Lévy signe ici un premier roman particulièrement grisant, qui s'amuse du lecteur et de ses certitudes, toujours avec légèreté : comme Arthur, on se laisse prendre au jeu de Lauren, et comme lui, on finit par se dire, entre deux rebondissements : Et si c'était vrai....

Mon avis : Il y a de ça quasiment un an, je tentais, avec beaucoup d'appréhension mon premier Levy : Le Premier jour. Sans avoir détesté, les aberrations scientifiques et une intrigue surréaliste avaient ternis mon sentiment final...
Pour le défi que j'avais organisé l'an dernier, "Les lectures que l'on ne s'imaginerait pas lire", je fus défié par 100Choses dans le genre chick-lit sur ce livre. Cette œuvre ne m'a pas permis d'avoir un avis concluant sur le genre mais m'a fait prendre une importante décision : Levy ne rejoindra plus jamais ma bibliothèque...

Sur cette chronique, je vais quelque peu briser mes habitudes. D'une part, je vais me permettre une "descente" ni nuancée ni humble pour des raisons que je vais évoquer au préalable et d'autre part, je ne respecterai pas mon schéma habituel histoire/personnages/style privilégiant forme et fond.

Autre nouveauté, je vais faire une présentation succincte de l'auteur qui va justifier pourquoi je serai par la suite sans concession sur ce livre.
Marc Levy a 49 ans à ce jour et a revêtu de nombreuses casquettes. Il a tout d'abord été dès sa majorité volontaire à la Croix Rouge en tant que secouriste au départ. Il continuait cependant ses études de Gestion et d'Informatique à l'université Paris-Dauphiné. Il s'exila un an après aux Etats-Unis pour créer sa propre entreprise dont il perdit le contrôle et démissionna... Cela fut l'occasion de retourner en France où il créa avec un associé un cabinet d'architecture de bureau.
C'est en 2000 qu'il publia son premier livre, Et si c'était vrai? dont le succès fut retentissant puisqu'il a été traduit en 41 langues et vendu à plusieurs millions d'exemplaire... C'est ainsi l'auteur français contemporain le plus vendu en France mais aussi celui qui s'exporte le mieux.
Il est retourné vivre aux Etats-Unis depuis quelques années...
Première conclusion qui s'impose : La France c'est génial... Quand on en a besoin!

Je rassemble des informations sur l'auteur depuis quelques temps et j'ai réussi à glaner quelques anecdotes croustillantes :
- Marc Levy est retourné vivre aux États-unis car il considérait que la France ne reconnaissait pas son talent. Comment cracher dans la soupe en deux leçons selon Levy...
- Il a exigé sa magnifique présentation de couverture (bande rouge avec son nom en blanc écrit en très gros) estimant qu'il fallait que ses livres soit plus visibles et surtout qu'il y ait son empreinte bien à lui. On ne peut le nier, sa marque de fabrication correspond bien à son ego surdimensionné.
- Il a répondu aux avis négatifs de la presse sur ces œuvres en prétendant que les critiques parisiens « n'aiment pas les auteurs populaires » (on peut parfois le comprendre) et n'a pas du tout apprécié qu'on qualifie ses œuvres de "romans de gare" ou encore de "romans de plage"... Il a ainsi sous-entendu que les critiques n'avaient rien compris à la littérature. Ne serait-ce pas l'inverse? Ou plutôt la réelle question : Qui a tout compris sur ce qui fait vendre?
Deuxième conclusion : Levy est sans conteste un mégalomane patenté ainsi qu'un opportuniste qui utilise son pays natal uniquement comme un aboutissement commercial, qui se permet de cracher dans la soupe et le pire est... que cela semble fonctionner encore et toujours.

Petit rappel : cette critique est la mienne, elle est ainsi subjective, orientée vers mes opinions bien que je fasse en sorte d'être le plus objectif possible! Que cela ne vous plaise pas qu'on "tape" sur Levy c'est une chose mais inutile de fustiger mon article si vous ne le lisez pas!!

Intéressons-nous maintenant au livre en question, à cette histoire d'amour sur fond de "fantastique" (oui il faut bien mettre des guillemet par respect pour le genre...).

Je vais commencer par le fond de cette histoire.
Pour ceux qui avaient lu ma chronique sur le Premier Jour, j'avais critiqué les aberrations scientifiques qu'il utilisait pour construire son semblant d'intrigue. Il faut préciser que ce livre parlait à la fois d'Astronomie et d'Archéologie, deux domaines où j'ai quelques bases.
Dans Et si c'était vrai?, il utilise la médecine en nous infligeant une succession de détails techniques. Malheureusement pour moi, je n'ai pas les mêmes bases dans ce domaine mais pour avoir demandé à certains qui en ont, il semblerait que les aberrations soient aussi nombreuses... Dans ce cas, on peut être amené à se demander ce qui le pousse à travailler ainsi... Pour moi, la réponse est limpide : ce n'est que du remplissage, des mots savants qui "font bien" masquant ainsi une histoire plate et inintéressante.

Ce livre est cousu de préjugés, d'idées reçu ou encore de stéréotypes affligeants. Je vais tenter d'illustrer mon propos par deux thèmes : les dépressifs et les homosexuels. J'ai sélectionné des passages qui sont certes sortis de leur contexte mais qui se suffisent à eux-même.

Le premier est un dialogue. Arthur arrive au travail avec une tête des mauvais jours dû à une nuit mouvementée. Il s'entretient avec une de ses collègues, Maureen ainsi que Lauren, la mystérieuse femme fantôme (qu'il est le seul à voir) :
Maureen lui demanda s'il avait entendu parlé de la dépression de surmenage? "Vous savez qu'il faut réagir aux premiers signes, qu'après on peut mettre des mois à s'en remettre?"
- Maureen, je ne fais pas de dépression de surmenage, j'ai passé une mauvaise nuit, c'est tout.

Lauren enchaina :
- Ah! Vous voyez, mauvaise nuit, cauchemar...
- Arrêtez , s'il vous plait, ce n'est pas possible, donnez-moi une minute.
- Mais je n'ai rien dit, s'exclama Maureen.
- Maureen, laissez-moi seul, il faut que je me concentre, je vais faire un peu de relaxation et ça va aller.
-Vous allez faire de la relaxation? Vous m'inquiétez Arthur, vous m'inquiétez beaucoup!
Et quelques lignes plus loin, un autre collègue d'Arthur l'interpelle :
- Je viens de parler à Maureen , qu'est-ce que tu as?
- Mais fichez-moi la paix, ce n'est pas parce que j'arrive une fois en retard et fatigué que l'on doit me déclarer dépressif dans la seconde.
- Je n'est pas dit que tu étais dépressif
- Non mais c'est ce que Maureen m'a suggéré, il parait que j'ai une tête hallucinante ce matin.
-Pas hallucinante, hallucinée.
On peut déjà constater la pauvreté des dialogues dignes des meilleures séries Z...
La dépression semble être un sujet totalement étranger à l'auteur qui se contente de balancer quelques stéréotypes pour alimenter son histoire et faire des pages.
Bon nombre de dépressifs seraient ravis de se contenter d'une mauvaise tête matinale et de cauchemars comme effets de leur maladie et par réciprocité, si tous ceux qui avaient parfois un réveil houleux étaient dépressifs, ça se saurait...

Passons maintenant sur le deuxième sujet, l'homosexualité, avec un nouveau dialogue entre un inspecteur de police et un stagiaire :
-Bingo avait-il dit au jeune élève inspecteur, tu me donnes tout sur ce type pour ce soir, son âge, s'il est pédé, s'il se came.[...] Tu appelles le FBI, l'armée, je m'en fous mais je veux tout savoir.
-Moi , je suis pédé inspecteur! Mais cela en m'empêchera pas de faire le travail que vous me demandez.
Quelques temps après, le stagiaire rapporte son enquête :
-Vous allez être déçu et en même temps ravi.[...]
-Et pourquoi je vais être ravi?
-Il n'est même pas pédé !
-Mais je n'ai rien contre les pédés bordel, arrête avec ça!
On peut toujours constater que l'échange sonne creux. Il parait de plus surréaliste qu'un stagiaire en reste pas à sa place et encore moins qu'il dévoile sa sexualité si facilement.
Le pire dans ce dialogue est que Levy semble nous dire : " C'est pas bien l'homophobie, il faut être très tolérant" (prenez une voix niaise, ça marche mieux) mais quand on veut faire passer un message, autant qu'il soit subtil et réaliste, deux mots que Marc Levy a raillé du dictionnaire.

Cela permet d'arriver au paroxysme de mon indignation concernant le fond de ce roman : les leçons de morale ou encore "Comment mener sa vie pour les nuls"...
A plusieurs reprises, cette volonté est appuyée de manière affligeante. Je ne vais pas plus m'étendre sur ce sujet, un exemple parait être plus approprié. Il s'agit d'une lettre écrite par la mère du héros à son attention :
[...]Tu sais, rien n'est plus complexe que d'élever un enfant. on passe sa vie entière à donner tout ce que l'on croit être juste, tout en sachant que l'on ne cesse de se tromper. Mais pour la plupart des parents, tout n'est qu'amour, même si l'on ne peut pas s'empêcher parfois de quelques égoïsme. [...]
Cette lettre se poursuit dans le même ton, moralisateur à souhait et l'auteur ne s'en tient pas qu'à cela puisque ce genre de passages revient régulièrement.
En tout cas, maintenant, je sais comment on élève un enfant et si je devient père un jour, inutile de préciser que j'appliquerai à la lettre les bons conseils de notre sage.

Je me suis alors dit qu'il fallait cesser de regarder le fond et ainsi se contenter d'une lecture surfacique. Malheureusement, cela ne fut guère plus concluant...
Les personnages ne m'ont jamais intéressés, je les trouvais peu crédibles, caricaturaux etc. Je me suis rendu compte de cela grâce à un fait très simple pendant mes lectures de manière générale : je ne retenais aucun prénom d'une pause à l'autre. Cela ne m'arrive que lorsqu'il y soit trop de protagonistes soit qu'aucun n'attire mon attention. Je vous laisse deviner quelle est l'option ici... Je pense que cela est surtout dû à la pauvreté des dialogues. Si j'ai envie de regarder Plus Belle la Vie, j'allume ma télévision mais en aucun cas je souhaite trouver dans mes lectures ce genre d'échanges... Aussi, pendant les interactions, je prenait une voix niaise dans ma tête ce qui n'a pas facilité les choses pour m'attacher aux personnages...

Comme je l'ai déjà évoqué, je ne vois pas une réelle histoire. Du moins, pour nuancer, je dirais qu'il y a beaucoup de passages inutiles qui font office de remplissage... Par conséquent, je n'ai jamais réussi à y trouver de l'intérêt et ai décroché à de nombreuses reprises jusqu'à lire les dernières pages en diagonale.
Ce que je déteste par dessus tout dans les films ou les livres, c'est le mélodramatique et si je peux reconnaître une qualité à notre cher Marc Levy, c'est une maîtrise totale de ce style. J'avais déjà reproché à un récent livre lu, La Nostalgie de l'Ange, son côté outrageusement larmoyant mais ici, on surpasse Alice Sebold...
Le magazine L'Express a, selon moi, bien résumé les ingrédients de son succès : "
l'enfance, l'amour et l'amitié à la sauce mélo".

Côté style, j'ai rarement lu une œuvre d'un tel niveau. Sur certains passages, l'écriture se veut être grande : on place quelques mots savants ou légèrement élitistes dans des phrases qui n'en ont pas besoin. Une nouvelle fois, ce n'est que pour masquer la pauvreté du discours.
Sur d'autres, c'est très simpliste, les répétitions se succèdent, les fautes de français aussi... Aberrant... Bien sûr, il y a les dialogues insipides mais je ne vais pas y revenir une nouvelle fois...

Pour conclure, je rappelle une nouvelle fois qu'il ne s'agit que de mon avis mais je ne peux m'empêcher, au vu des statistiques de ventes, de m'inquiéter sur l'avenir de la littérature dans notre pays bien qu'il soit en grande partie vendu en tant que lecture de plage ou de transports...
Je n'ai pas la présomption de croire que je pourrais faire mieux mais avec ce livre, mon humilité a atteint ses limites et je ne peux pas plus nuancer mon propos. Quand on voit le nombre de livres à notre disposition, je ne pourrai jamais comprendre qu'il soit autant vendu. Une nouvelle énigme de la société actuelle...
J'ai eu vent d'une parodie de ce livre, Et si c'était niais? mais je m'interroge vraiment sur son contenu considérant l'original déjà comme une parodie de la Romance...

Je remercie 100choses encore une fois qui m'a permis de découvrir réellement cet auteur et je clôture ainsi mon challenge les lectures l'on ne s'imaginerait pas lire. Je suis fier de l'avoir lu , je peux maintenant clamer "oui, je l'ai fait" ; mon seul regret restera d'en avoir parlé car cet adage est toujours valable, encore plus dans notre société de consommation : "Dites du bien, dites du mal mais surtout, parlez de moi".
Pour conclure, je vous présente ce qui fut pour moi l'apothéose côté mièvrerie. Ça se passe de commentaire :
Trois mois s'écoulèrent ainsi sans que rien vienne troubler leur intimité. Cela se produisit un mardi soir. Ils s'étaient couchés tous eux après une soirée paisible passée dans l'appartement. Après leurs étreintes complices, ils avaient partagé les dernières lignes d'un roman qu'il lisaient ensemble, puisqu'il devait lui tourner les pages. Ils s'étaient endormis tard dans la nuit, dans les bras l'un de l'autre.








Roméo et Juliette de William Shakespeare


Résumé : Roméo aimait Rosaline. Lysandre aimait Hermia et Démétrius Héléna. Tout à coup, comme en dansant, les hommes changent de cavalières. Juliette apparaît à Roméo et leurs lèvres se joignent au milieu du bal.
Une nuit d'été, un lutin effleure les paupière d'un homme endormi, à son réveil il en aime une autre.
Illumination pour Roméo et Juliette, illusion pour les amants du "Songe", l'amour est fou. Shakespeare en chante la douce et terrible folie, l'enchantement quand il donne l'amour de la vie, le désespoir quand il l'anéantit et appelle la mort.
Truculence et humour, fantaisie, charme et poésie, Shakespeare parle toutes les langues d'un monde universel. Roméo et Juliette sont le symbole de l'amour parfait et l'on voudrait que l'alouette n'ai jamais chanté après le rossignol.

Mon Avis : Pour me tenir à mes engagements dans le Big Challenge livraddict 2010, je me suis forcé à lire ce grand classique du théâtre. "Forcé"? Le mot est très peu approprié car je l'ai lu en une seule et unique journée (il est court je vous l'accorde) et contrairement à ce que voulaient me faire croire mes aprioris, j'ai vraiment adoré.

J'ajouterais aussi que le théâtre ne m'a jamais passionné pour mes lectures. J'ai joué pendant un certains temps et j'appréciais particulièrement. Trèves de bavardages sur ma vie, parlons un peu de ce livre.

Avant toute chose, je dois rappeler que j'avais des réticences à lire du Shakespeare car j'avais peur que cela soit trop inaccessible pour moi. Ainsi, je n'en avais jamais lu jusqu'ici, lacune que je trouve assez honteuse pour ma culture générale.... J'en ai quelques unes comme cela que je voulais à tout prix combler mais les classiques sont souvent des déceptions...

Inutile de rappeler cette histoire mythique dont la plupart a déjà eu vent à travers les cours de langues, des allusions dans des films etc. inutile aussi de présenter les personnages... Cette pièce de Shakespeare est son œuvre la plus populaire et sans doute LE classique le plus connu dans le monde.
Je me sens incapable de donner une critique de cette oeuvre tant je la respecte. Je vais donc proposer un avis très personnel n'engageant que moi.

Je l'ai déjà évoqué mais j'avais beaucoup de réticences avant de commencer particulièrement sur le vocabulaire et sur le romantisme.
Pour la première, je me suis vraiment fourvoyé. Certes, on sent une empreinte stylistique d'un autre temps mais cela reste tout de même très accessible et pour continuer sur le style, je suis sincèrement tombé sous le charme de cette plume qui a un atout majeur : je saurais la distinguer entre toutes. J'aime ressentir cette identité dans les écritures, je trouve que cela fait la différence entre les très bons auteurs et auteurs exceptionnels.
Je ne sais pas quoi penser des rumeurs qui disent qu'il n'a pas écrit ses pièces mais à la rigueur, cela m'est égal, j'ai adoré sa plume, qu'elle soit de lui ou non.
En ce qui concerne ma deuxième réticence, c'est un point plus délicat à juger. C'est une réelle et magnifique ode à l'amour et à la passion de l'autre. Cependant, le romantisme poussé à l'extrême ne me réussit pas. Il faut, bien entendu, remettre les choses dans leur contexte, cette pièce a été écrite au XVIe siècle. Je n'arrive pourtant pas à être touché quand il y a trop de débordements affectifs même si certains passages sont émouvants, c'est indéniable.
Les personnages me sont apparus tous intéressants. Chacun apporte quelque chose et pour une pièce relativement courte, on cerne directement leur personnalité. Ceci est un autre atout que j'apprécie chez les excellents auteurs : la capacité de créer un personnages avec peu de mots tout en le rendant complet.

Cette critique est minimaliste et je l'accorderai volontiers. L'approche du théâtre est assez complexe selon moi et je n'arriverai pas à en dire beaucoup plus.
Pour conclure, mis à part cet excès de romantisme auquel je n'adhère pas, cette œuvre est magistrale est incontournable. Je ne sais pas si elle aura définitivement réussit le pari risqué de me réconcilier avec le théâtre et les classiques en général mais tout ce que je peux dire est que je m'incline devant l'auteur et pour une fois, je ne mettrai pas de note...



jeudi 30 décembre 2010

Les Dossiers Dresden, tome 2, Lune Fauve


Résumé : Les affaires ne vont pas fort. En fait, elles sont carrément en arrêt maladie, et même pas à cause d'une malédiction ancestrale ! Chicago devrait regorger d'affaires intéressantes pour le seul magicien officiel du pays ; pourtant, l'agenda d'Harry est aussi vide que le crâne d'un zombie. Aucun boulot en vue, magique ou non.
Heureusement, la police a besoin d'Harry pour élucider un meurtre... très particulier. Si je vous dis : un corps en charpie ; d'étranges empreintes griffues ; la pleine lune... ? Ah, on est loin de Questions pour un champion...

Mon Avis : Le premier tome des Dossiers Dresden, malgré des avis souvent partagés, m'avait énormément plu. C'était une lecture simple, efficace, avec un humour sarcastique comme je les aime, tout pour se détendre allègrement. Je n'attendais rien de plus de ce deuxième tome et, même beaucoup de choses ont changé, j'ai pris beaucoup de plaisir.

L'univers mis en place par Jim Butcher est drôlement efficace. En effet, comme peut le faire supposer le titre, l'histoire tourne entièrrement autour des loups. L'auteur utilise le même principe que dans le premier tome pour nous faire passer la "théorie" (ici tout le mythe lycanthrope, loups-garous etc.) : soit Harry, en tant que narrateur nous prend à parti soit il converse avec l'esprit nommé Bob. Ce fut très intéressant de balayer de long en large ce mythe (avec quelques nouveautés pour moi) et même si je ne suis pas érudit sur le mythe initial, j'ai appris de nombreux détails bien que l'on reste dans l'imaginaire et les légendes.
Outre les éléments informatifs sur les loups, la magie dans ce tome est bien mieux exploitée. Harry l'utilise plus et de manière beaucoup moins retenue. On pouvait reprocher cela au premier tome mais pour sa défense, ses ennuis avec la Blanche Confrérie ne l'ont pas aidé.
Même si je trouvais l'univers assez travaillé précédemment, ce tome monte d'un niveau sur ce paramètre que j'aime tant en Fantasy.

Ce tome se lit assez rapidement et il est assez complexe de le poser car l'auteur fait en sorte que chaque fin de chapitre se termine par un suspens assez insoutenable.
Tout comme pour l'univers de cette saga, l'histoire a pris une autre dimension. En effet, l'intrigue est beaucoup moins légère, plus aboutie et surtout rocambolesque.
L'aspect policier est très bien exploité : de nombreux suspects, des rebondissements alléchants etc. Je n'ai pas réussi à anticiper ce qui allait se passer et je considère cela comme un grand facteur d'appréciation.
On ne pourra pas reprocher à l'auteur d'avoir fait en sorte qu'Harry s'en sorte facilement... Il frôle la mort à plusieurs reprises et se retrouve dans des situations dont on peut vraiment s'interroger sur l'issue.
C'est avec un certain sérieux que Jim Butcher a travaillé son histoire ; cela fait changer le ton général comparé au premier tome mais ce fut jouissif.

Parlons de Harry Dresden... La seule chose qui me vient en tête en repensant à lui est "pauvre Harry"...
Dès le départ de l'histoire, on sent que sa situation pourrait être plus prospère : plus de contrats intéressants, une vie sentimentale toujours aussi chaotique, la mafia toujours menaçante... Par la suite, comme évoqué précédemment, il ne connait pas le répit dans ce tome et s'en prend, excusez de l'expression, "plein la tronche" mais c'est très bien amené.
J'aime beaucoup ce personnage, un anti-héros des plus sarcastiques. En revanche, je l'ai trouvé beaucoup plus sérieux, plus réaliste face à la situation et surtout encore plus courageux.

Ce tome est aussi rendu plus complexe par la profusion de personnages. On retrouve bien évidemment l'inspecteur Murphy avec qui Harry entretient une relation assez conflictuelle qui cache cependant quelques sentiments difficiles à cerner. J'ai trouvé cette relation encore plus intéressante.
Susan, la journaliste, est encore présente. Autant elle a pu m'agacer avec sa curiosité parfois malsaine, autant, dans ce tome, elle dévoile une autre partie de sa personnalité et sa relation avec Harry va évoluer mais... je m'abstiendrai d'en dire plus.
Marcone, le parrain de la mafia, se charge de compliquer la tache de notre cher ami pour le meilleur et pour le pire. Il est particulièrement insupportable mais très réaliste dans le côté "pourriture".
Je ne vois pas de manière de vous présenter les nouveaux personnages sans vous en révélez trop sur l'histoire ; aussi je préfère vous laisser les découvrir par vous-même.
Une évolution des relations, de nouveaux protagonistes intéressants, un nouvel atout pour ce roman.

L'écriture de Jim Butcher est toujours aussi agréable à lire. Sans être de la grande littérature, on reste dans un registre léger avec une utilisation modérée du langage parlé.
Il distille à merveille, à travers Harry (narrateur de l'histoire), son humour empli de sarcasmes vraiment désopilant parfois. Comme ce tome est plus sérieux, l'utilisation de l'humour est moins omniprésent mais je n'en ai pas fait de cas.
Une écriture fluide et un humour comme je les aime, Butcher est un auteur à suivre pour tout amateur du genre.

Tous les ingrédients sont une nouvelle fois réunis pour passer un très bon moment de lecture. Ce tome a pris une autre dimension, l'aspect policier ayant pris le pas sur une intrigue légère. Un e série que je recommande avec avidité. j'attribue donc la note de 16/20.

Cette lecture a été réalisée dans le cadre d'une LC sur livraddict et je remercie les divers participants :)
Pommette
Phooka
Frankie
Yumiko
Pénélope
Heclea
Latite06
Petit-lips
Lou
Morgouille
Taliesin
Zatoun
blueverbuena

mardi 28 décembre 2010

L'Epouvanteur, tome 1, l'Apprenti Epouvanteur de Joseph Delaney

Résumé : Septième fils d'un septième fils, Tom perçoit les ombres de ceux qui ont peuplé la terre et ressent la présence des êtres maléfiques. A treize ans, il doit quitter la ferme pour devenir l'apprenti de l'épouvanteur, chasseur de démons et sorcières. Commence alors pour lui une nouvelle vie, difficile. N'écoutant que son bon cœur, il va permettre la libération d'une sorcière particulièrement cruelle que son maître a enfermée dans un puits. Il aura alors à l'affronter à plusieurs reprises avant de la voir disparaître à tout jamais.

Mon Avis : J'avais pris la bonne résolution il y a quelques de continuer mes sagas en cours en évitant le plus possible d'en commencer de nouvelles... Encore, une fois, je n'ai pas pu m'y tenir. La faute à qui? Personne d'autre que moi... J'en ai particulièrement entendu parler sur livraddict depuis un certains temps. J'avais d'ailleurs entendu que ce tome-ci était bien en dessous des autres... Cela me rassure quelque peu pour la continuité de cette saga.

Joseph Delaney a pris un risque relativement important sur l'ambiance qu'il souhaitait imprimer. En effet, mélanger de l'épouvante avec du Jeunesse est, selon moi, un exercice des plus complexes. Il faut à la fois développer un univers sombre, distiller des détails peu ragoutants et j'en passe tout en "préservant" son lectorat. L'auteur semble avoir trouver le juste milieu et rien que pour cela, je respecte sincèrement son travail.
Cependant, malgré ce côté noir, j'ai trouvé l'ensemble très/trop Jeunesse. L'écriture est agréable et fluide comme quasiment tous les livres du genre mais c'est assez basique. J'ai trouvé cela maladroit par moment voir même un peu pesant car l'auteur semblait tourner en rond avec les pensées de son jeune héros. Ce fut particulièrement frustrant car je m'attendais à ce que l'épouvante soit plus poussée au détriment de l'aspect Jeunesse et je n'ai pu que constater que c'était le contraire. Aussi, pour une fois, j'ai été vraiment déçu de ne pas l'avoir lu bien plus jeune.
Enfin, il m'a manqué dans son style une touche personnelle, un style que je reconnaitrais parmi d'autres ou encore un humour particulier comme Rick Riordan et sa saga Percy Jackson.

L'histoire est assez inégale et j'ai eu l'occasion de décrocher parfois. J'ai ressenti parfois de l'ennui surtout dans les trois premiers quarts. Je trouvais l'histoire un peu fade, redondante mais surtout très lente. En revanche, l'ultime partie m'est apparue haletante, très rythmée ce qui a remonté l'estime que je portais à ce livre au début.
Un détail, qui pour moi a de l'importance, est que je commence à me lasser de la structure redondante des livres Jeunesse. On y retrouve quasiment toujours le même schéma : le jeune héros discret au commencement et qui devient téméraire au fil des pages, un parcours initiatique à travers une école ou un mentor... Je ne suis pas du genre à m'intéresser à la schématisation des récits mais ce titre m'en a rappelé pleins d'autres et au final, je reste sur le sentiment que le seul apport est le côté horreur pour jeune...

Les livres du genres sont parfois rendus intéressants rien qu'à travers leurs personnages. C'est plus ou moins le cas pour ce premier tome. En effet, le héros principal m'a plu, je l'ai trouvé assez réaliste car il n'est pas rendu excessivement téméraire, c'est un garçon tout à fait normal avec ses qualités et ses défauts. Cependant, je n'ai jamais réussi à m'identifier à lui sans doute par manque de profondeur. Il aurait mérité d'être plus travaillé même pour un roman destiné à un jeune lectorat.
J'ai beaucoup aimé l'Epouvanteur ( le maître de Tom) car il est sévère, sombre, érudit et les anecdotes qu'il raconte à son apprenti sont passionnantes. Néanmoins, je m'attendais à quelqu'un de bien plus charismatique.
Les personnages féminins, principalement Alice et la mère de Tom, sont plutôt bien travaillés mais je m'abstiendrais d'en dire plus au risque de trop en dire sur l'intrigue.

Je me rends compte que je suis particulièrement sévère. J'espère ne pas devenir aigri de sitôt mais je suis dans une période où j'ai besoin de rêver, de m'évader et surtout de lire des œuvres sortant de l'ordinaire.
Ne vous méprenez pas, j'ai sciemment axé ma chronique sur les défauts car ils m'ont gêné lors de ma lecture mais au final, je suis ressorti avec l'impression d'avoir passé un bon moment, pas impérissable mais simplement agréable. De plus, je pressens quand même un potentiel qui ne demande qu'à être confirmé.
Comme j'ai entendu plusieurs fois que la suite était un cran au dessus, je vais continuer même si je risque de prioriser certains titres. Je donne donc la note de 12/20 à ce premier tome.

Ce livre a été lu dans le cadre d'une LC sur livraddict avec :
Kayleigh
Azariel87
mia62
Plumeline
Frankie
JuNa62
Anasthassia
MarionJB



Challenge : Les Chefs D'oeuvre de la SFFF




Voilà l'ultime challenge que je prépare pour l'année 2011. Ce challenge est parti d'une idée de Snow qui avec quelques uns, ont établi une liste comportant les titres "incontournables" dans chaque genre de la SFFF.

Voyant que j'ai été très gourmand jusqu'ici en matière de challenge, j'ai décidé de participé (car je ne pouvais passer à côté.) mais avec le degré de difficulté le plus faible c'est à dire le niveau Neil Gaiman qui consiste à lire un titre dans chacune des catégories. Ce challenge recoupe de plus certains autres donc pas de quoi se tracasser :)

Pour de plus amples informations, vous pouvez aller voir l'article sur le blog de Snow .



Voici cette incroyable liste :

60 CHEFS-D’ŒUVRE DE LA SF (soit 89 livres)

* Frankenstein ou le Prométhée moderne de Mary Shelley [1816]

* Voyage au centre de la Terre de Jules Verne [1864]

* De la Terre à la Lune de Jules Verne [1865]

* Flatland de Edwin A. Abbott [1884]

* La machine à explorer le temps de H.G.Wells [1895]

* La guerre des Mondes de H.G.Wells [1898]

* Le ciel est mort de John W. Campbell [années 1930]

* Le meilleur des mondes de Aldous Huxley [1932]

* La Légion de l’espace par Jack Williamson [1934]

* Ravage de René Barjavel [1943]

* A la poursuite des Slans de Alfred Van Vogt [1946]

* 1984 de George Orwell [1949]

* Les seigneurs de l’Instrumentalité, cycle de Cordwainer Smith [1940-1966]

1 / Les Sondeurs vivent en vain

2 / La Planète Shayol

3 / Norstralie

4 / Légendes et glossaire du futur

* Fondation, cycle d’Isaac Asimov [1950]

(Existe en deux intégrales chez Denoël)

1 / Fondation

2 / Fondation et empire

3 / Seconde Fondation

4 / Fondation foudroyée

5 / Terre et Fondation

* Les enfants d’Icare de Arthur C. Clarke [1950]

* Les Robots d’Isaac Asimov [1950]

(Existe en deux intégrales chez Omnibus)

1 / Les Robots

1bis / I, robot

2 / Un défilé de robots

3 / Les Cavernes d'acier

4 / Face aux feux du soleil

5 / Les Robots de l'aube

6 / Les Robots et l'empire

* La faune de l’espace d’Alfred Van Vogt [1951]

* Demain les chiens de Clifford D. Simak [1952]

* Les chroniques martiennes de Ray Bradbury [1953]

* Fahrenheit 451 de Ray Bradbury [1953]

* Oms en série de Stefan Wul [1957]

* Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes [1959]

* Solaris de Stanislas Lem [1961]

* En terre étrangère de Robert Heinlein [1961]

* Le dieu venu du Centaure de Philip K. Dick [1963]

* L’intégrale des nouvelles de Philip K. Dick

(Existe en deux intégrales chez Denoël)

Nouvelles 1947-1952

Nouvelles 1952-1953

Nouvelles 1953-1963

Nouvelles 1963-1981

* Dune, cycle de Frank Herbert [1965]

1 / Dune

2 / Le Messie de Dune

3 / Les Enfants de Dune

4 / L'Empereur-dieu de Dune

5 / Les Hérétiques de Dune

6 / La Maison des mères

* Ubik de Philip K. Dick [1969]

* Tous à Zanzibar de John Brunner [1968]

* Le Cycle de Tschaï de Jack Vance [1968-1970]

1 / Le Chasch

2 / Le Wankh

3 / Le Dirdir

4 / Le Pnume

* Jack Baron & L’éternité de Norman Spinrad [1969]

* Les monades urbaines de Robert Silverberg [1971]

* Stalker de Boris et Arkadi Strougatski [1972]

* La cinquième tête de Cerbère de Gene Wolfe [1972]

* Persistance de la vision de John Varley [1978]

* Axiomatique de Greg Egan [1985]

* La guerre éternelle, cycle de Joe Haldeman [1974]

* L’oiseau d’Amérique de Walter Tevis [1979]

* L’oeuf du dragon de Robert L. Forward [1980]

* Radix d’A.A. Attanasio [1981]

* Neuromancien de William Gibson [1984]

* Schismatrice (ou Schismatrice +) de Bruce Sterling [1985]

* La stratégie Ender, cycle d’Orson Scott Card [1985]

1 / La Stratégie Ender

2 / La Voix des morts

3 / Xénocide

4 / Les Enfants de l'esprit

(HC) / Ender Wiggin. Premières rencontres

(HC) / Ender : l'exil

* La musique du sang de Greg Bear [1985]

* Une forme de guerre de Iain M. Banks [1987]

* Les Cantos d’Hyperion, cycle de Dan Simmons [1989]

(Existe en deux omnibus chez Robert Laffont, et en version Pocket où chaque tome est divisé en 2)

1 / Hypérion

2 / La Chute d'Hypérion

3 / Endymion

4 / L'Éveil d'Endymion

* Un feu sur l’abîme de Vernor Vinge [1992]

* La Trilogie martienne de Kim Stanley Robinson [1992-96]

(Existe en intégrale chez Omnibus)

1/ Mars la Rouge

2/ Mars la Verte

3/ Mars la Bleue

* La cité des permutants de Greg Egan [1994]

* La voie terrestre de Robert Reed [1994]

* L’âge de Diamant de Neal Stephenson [1995]

* Les racines du mal de Maurice G. Dantec [1995]

* Frères de chair de Michael M. Smith [1996]

* Le système Valentine de John Varley [1998]

* Les Extrêmes de Christopher Priest [1998]

* Le Cycle des Inhibiteurs d’Alastair Reynolds [2000]

1 / L'Espace de la révélation
2 / La Cité du gouffre
3 / L'Arche de la rédemption
4 /Le Gouffre de l'absolution
5 / The Prefect (non traduit)

* Supertoys de Brian Aldiss [2001]

* Les puissances de l’invisible de Tim Powers [2001]

* L’ombre du Shrander de M. John Harrison [2002]

* Au Tréfonds du Ciel de Vernor Vinge [2004]

20 CHEFS-D’ŒUVRE FANTASTIQUE & TRANSFICTION(soit 20 livres)

* Le Grand Meaulnes d’Alain Fournier [1913]

* Le Procès de Franz Kafka [1925]

* L’invention de Morel de Adolfo Bioy Casares [1940]

* Le Musée noir / Soleil des loups, recueils de André-Pieyre De Mandiargues [1946-1951]

* L’Aleph, recueil de Jorge Luis Borges [1949]

* Cristal qui songe de Theodore Sturgeon [1950]

* Les plus qu’humains de Theodore Sturgeon [1953]

* L’homme qui rétrécit de Richard Matheson [1956]

* La Bibliothèque de Babel, collection de textes de Jorge L. Borges

* Le berceau du chat de Kurt Vonnegut [1963]

* Vente à la criée du lot 49 de Thomas Pynchon [1966]

* Le K, recueil de Dino Buzzati [1966]

* L’oreille interne de Robert Silverberg [1975]

* Si par une nuit d’hiver un voyageur d’Italo Calvino [1979]

* Le palais des rêves d’Ismaïl Kadare [1981]

* La course au mouton sauvage de Haruki Murakami [1982]

* ENtreFER de Iain M. Banks [1987]

* Le Prestige de Christopher Priest [1995]

* Fight Club de Chuck Palahniuk [1996]

* Démons et merveilles, recueil de H.P. Lovecraft [1919-1934]

20 CHEFS-D’ŒUVRE DE LA FANTASY (soit 70 livres)

* La trilogie de Gormenghast de Mervyn Peake [1946-1959]

1 / Titus d'enfer

2 / Gormenghast

3 / Titus errant

4 / Titus dans les ténèbres

* Le Seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien [1954-1955]

(Existe en intégrale chez Christian Bourgois et chez Pocket)

1 / La Communauté de l'anneau

2 / Les Deux tours

3 / Le Retour du roi

* Terremer, cycle d’Ursula K. Le Guin [1968-2001]

1 / Terremer

2 / Tehanu

3 / Contes de Terremer

4 / Le Vent d'ailleurs

* Elric le Nécromancien, cycle de Michael Moorcock [1972-1981]

(Existe en intégrale chez Omnibus)

1 / Elric des dragons

2 / La Forteresse de la perle

3 / Le Navigateur sur les mers du destin

4 / Elric le nécromancien

5 / La Sorcière dormante

6 / La Revanche de la Rose

7 / L'Épée noire

8 / Stormbringer

9 / Elric à la fin des temps

* Le Livre du Second Soleil de Teur (ou Le Livre du nouveau soleil), cycle de Gene Wolfe [1980-1987]

(Existe en deux intégrales chez Denoël)

1 / L'Ombre du bourreau

2 / La Griffe du demi-dieu

3 / L'Épée du licteur

4 / La Citadelle de l'autarque

5 / Le Nouveau soleil de Teur (parfois découpé en deux selon les éditions)

* Majpoor, cycle de Robert Silverberg [1980-2002]

1 / Le Château de Lord Valentin

2 / Chroniques de Majipoor

3 / Valentin de Majipoor

4 / Les Montagnes de Majipoor

5 / Les Sorciers de Majipoor

6 / Prestimion le Coronal

7 / Le Roi des rêves

* Helliconia, trilogie de Brian Aldiss [1982]

1 / Le Printemps d'Helliconia

2 / Helliconia, l'été

3 / L'Hiver d'Helliconia

* Les voies d’Anubis de Tim Powers [1983]

* La tapisserie de Fionavar, cycle de Guy G. Kay [1984-1987]

1 / L'Arbre de l'été

2 / Le Feu vagabond

3 / La Voie obscure

* La Forêt des Mythagos, cycle de Robert Holdstock [1984]

(Existe en deux intégrales chez Denoël)

1 / La Forêt des mythagos

2 / Lavondyss

3 / Le Passe-broussaille

4 / La Porte d'ivoire

* Les chroniques d’Alvin le faiseur, cycle d’Orson S. Card [1985]

1 / Le Septième fils

2 / Le Prophète rouge

3 / L'Apprenti

4 / Le Compagnon

5 / Flammes de vie

6 / La Cité de Cristal

7 / L'Apprenti Alvin et le soc bon-rien

* La Tour sombre, cycle de Stephen King [1978-2005]

1 / Le Pistolero

2 / Les Trois cartes

3 / Terres perdues

4 / Magie et cristal

5 / Les Loups de la Calla

6 / Le Chant de Susannah

7 / La Tour Sombre

* Mother London, de Michael Moorcock [1988]

* Les Derynis, cycle de Katherine Kurtz [1970]

1 / La trilogie des rois

2 / La trilogie des héritiers

3 / La trilogie des magiciens

4 / La trilogie du roi Kelson

* Des milliards de tapis de cheveux d’Andreas Eschbach [1995]

* Chroniques d’un rêve enclavé d’Ayerdhal [1997]

* Perdido Street Station de China Miéville [2000]

- Perdido Street Station, tome 1

- Perdido Street Station, tome 2

* American Gods de Neil Gaiman [2001]

* La cité des saints et des fous de Jeff Van der Meer [2002]

* La horde du contrevent d’Alain Damasio [2004]


lundi 27 décembre 2010

Challenge les 100 livres incontournables des livraddictiens

Depuis le temps que je me suis inscrit à ce challenge, j'ai honte d'écrire mon article à ce moment...

Ce challenge est partie d'un topic où chacun devait donner ses vingts références tous genres confondus.

Ici le but est très simple : lire au moins 16 oeuvres non lues de cette sélection (car j'ai choisi la formule maximale nommée "vers l'infini et l'au-delà"). Le nombre sur le côté correspond à combien de fois untel livre a été cité.

La liste a été étendue à 139 titres au vu des égalités à 3 votes. J'avais ainsi lu avant inscription 50 titres (en gras) et depuis, j'en ai lu trois autres.

Mon Bilan actuel et donc de 3/16

Si vous souhaitez vous inscrire c'est ici.

Voici maintenant cette fameuse liste :)


1 Rowling, JK Harry Potter ( série) 47
2 Tolkien, J. R. R. Le Seigneur des anneaux (série) 27
3 Austen, J. Orgueil et préjugés 19
4 Brontë, E. Les hauts de Hurlevent 15
5 Orwell, G. 1984 15
6 Saint-Exupéry Le Petit Prince 15
7 Brontë, C. Jane Eyre 14
8 Laclos, C. Les Liaisons Dangereuses 14
9 Wilde, O. Le portrait de Dorian Gray 13
10 Barjavel, R. La Nuit des temps 12
11 Suskind, P. Le parfum 12
12 Shakespeare Roméo et Juliette 11
13 Christie, A. Les dix petits nègres 11
14 Meyer, S. Fascination / Twilight (série) 11
15 Vian, B. L'écume des jours 11
16 Keyes Des fleurs pour Algernon 10
17 Stoker, B. Dracula 10
18 Rostand, E. Cyrano de Bergerac 9
19 Mitchell Autant en emporte le vent 9
20 Nabokov, V. Lolita 9
21 Werber, B. Les Fourmis (trilogie) 9
22 Zola, E. Au bonheur des dames 9
23 Baudelaire, C. Les Fleurs du mal 9
24 Lévi, P. Si c'est un homme 8
25 Dumas, A. Les trois mousquetaires 8
26 Herbert Dune 8
27 Pagnol, M. Souvenirs d'enfance 8
28 Pennac, D. Saga Malaussène (Bonheur des ogres, M. Malaussène, Marchande de prose) 8
29 Voltaire Candide 8
30 Franck, A. Journal 7
31 Alcott, L. M. Les quatre filles du Dr March 7
32 Dahl, R. Charlie et la chocolaterie 7
33 Gavalda, A. Ensemble, c'est tout 7
34 Hobb L'assassin royal (série) 7
35 King, S. La Ligne verte 7
36 Lee Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur 7
37 Pullmann A la croisée des mondes (série) 7
38 Schmitt, E.-E. Oscar et la dame rose 7
39 Goscinny, R. Astérix (série) 7
40 Barrie, JM Peter Pan 6
41 Bottero Le pacte des Marchombre (trilogie) 6
42 Bradbury, R. Fahrenheit 451 6
43 Brown Da vinci code 6
44 Chattam, M. Trilogie du mal 6
45 Conan Doyle, A. Sherlock Holmes (série): pref le chien des baskerville 6
46 Goodkind L'épée de vérité (série) 6
47 Hugo, V. Le dernier jour d'un condamné 6
48 Huxley, A. Le meilleur des mondes 6
49 Kafka La métamorphose 6
50 Larsson, S. Millenium (série) 6
51 Maupassant Une vie 6
52 Werber Les thanatonautes 6
53 Zola, E. Germinal 6
54 Barjavel Ravage 5
55 Barrows & Shaffer Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates 5
56 Briggs Mercy Thompson (série) 5
57 Hugo, V. Les Misérables 5
58 King Shining 5
59 Lehane D. Shutter Island 5
60 Lenteric La nuit des enfants rois 5
61 Maupassant Le Horlà 5
62 Orwell, G. La ferme des animaux 5
63 Schmitt, E.-E. La part de l’autre 5
64 Pennac, D. Comme un roman 5
65 Anouilh Antigone 4
66 Asimov Fondation 4
67 Auel Les enfants de la terre (série) 4
68 Barjavel L’enchanteur 4
69 Bottero La Quête d'Ewilan (trilogie) 4
70 Brown Anges et démon 4
71 Caroll Alice au pays des merveilles 4
72 Cohen Belle du Seigneur 4
73 Dahl, R. Matilda 4
74 Eddings La belgariade 4
75 Feist Krondor (série) 4
76 Flaubert Madame Bovary 4
77 Folett Les piliers de la terre 4
78 Golden, A. Geisha 4
79 Goscinny Le petit Nicolas 4
80 Hickock, L. A. L'histoire d'Helen Keller 4
81 London, J. Croc-Blanc 4
82 Maupassant Bel-Ami 4
83 Pratchett Les Annales du Disque-Monde 4
84 Rice, A. Entretien avec un vampire (et chroniques) 4
85 Steinbeck Les Raisins de la colère 4
86 Steinbeck Des souris et des hommes 4
87 Cocteau La Machine infernale 3
88 Molière Le médecin malgré lui 3
89 Molière Dom Juan 3
90 Sartre Huis-clos 3
91 Shakespeare Othello 3
92 Shakespeare Hamlet 3
93 Blackman Entre chien et loup 3
94 Bottero Les Mondes d'Ewilan (trilogie) 3
95 Camus L'étranger 3
96 Claudel La petite fille de monsieur Linh 3
97 Coben, H. Ne le dis à personne 3
98 Coelho L'Alchimiste 3
99 Collins, S The Hunger Games (série) 3
100 Dick, P. K Ubik 3
101 Dostoïevski Crime et Châtiment 3
102 Du Maurier, D. Rebecca 3
103 Eco Le nom de la rose 3
104 Ellory Seul le silence 3
105 Fforde Thursday Next (série) 3
106 Gavalda, A. L'échappée belle 3
107 Gemmell Waylander 3
108 Homère L'Illiade 3
109 Jacq, C. Ramsès (série) 3
110 Kessel Le Lion 3
111 King Ca 3
112 Kundera L'insoutenable légèreté de l'être 3
113 Lewis, R. Pourquoi j'ai mangé mon père 3
114 Maupin, A. Chroniques de San Francisco 3
115 Murail M. A. Oh boy 3
116 Murail, M. A. Simple 3
117 Nothomb Hygiène de l'assassin 3
118 Nothomb Métaphysique des tubes 3
119 Nothomb Stupeur et tremblement 3
120 Orsenna La grammaire est une chanson douce 3
121 Pef Motordu 3
122 Sa, S. La joueuse de go 3
123 Ségur, Ctesse Les Malheur de Sophie, Les petites filles modèles, Les vacances, 3
124 Sije, D. Balzac et la petite tailleuse chinoise 3
125 Simmons Les Cantos d'Hypérion 3
126 Simmons L'échiquier du mal 3
127 Stendhal Le Rouge et le Noir 3
128 Verne Le tour du monde en 80 jours 3
129 Verne Voyage au centre de la terre 3
130 X L'herbe bleue 3
131 Zafon, C. L. L'ombre du vent 3
132 Zelazny Le Cycle des Princes d'Ambre (série) 3
133 Zimmer Bradley, M Les Dames du Lac (série) 3
134 Zola, E. L'Assommoir 3
135 Zola, E. Nana 3
136 Zusak La voleuse de livres 3
137 Zweig Le Joueur d'échecs 3
138 Zweig La pitié dangereuse 3
139 Zweig Lettre d'une inconnue 3

Baby Challenge Science-Fiction 2011


Toujours en suivant le même principe, je participe au baby challenge sur livraddict dans le genre Science-fiction. C'est une littérature que j'adore littéralement mais que j'ai un peu lésé cette année donc je compte me ratrapper.

Voici les 20 livres SF les plus plébiscités sur livraddict

1 - Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes
2 - Chroniques martiennes de Ray Bradbury
3 - Dune, tome 1, partie 1 de Frank Herbert
4 - Je suis une légende de Richard Matheson
5 - Les âmes vagabondes de Stephenie Meyer
6 - Le Passeur de Lois Lowry
7 - La Planète des Singes de Pierre Boulle
8 - 1984 de George Orwell
9 - Le cycle d'Ender, tome 1 : La stratégie Ender de Orson Scott Card
10 - La nuit des temps de René Barjavel
11 - L'histoire d'Anna, tome 1 : La déclaration de Gemma Malley
12 - Ubik de Philip K. Dick
13 - Voyage au centre de la Terre de Jules Verne
14 - Le meilleur des mondes de Aldous Huxley
15 - Le Cycle de Fondation, tome 1 : Fondation de Isaac Asimov
16 - Uglies, tome 1 de Scott Westerfeld
17 - L'affaire Jane Eyre de Jasper Fforde
18 - Le Guide du voyageur galactique, tome 1 de Douglas Adams
19 - Ravage de René Barjavel
20 - Midnighters, tome 1 : L'heure secrète de Scott Westerfeld

Beaucoup de travail pour ce genre aussi puisque je n'ai lu que 7 livres. Je ferai mon maximum pour combler mes lacunes :)

Si vous souhaitez vous inscrire, c'est ici.

dimanche 26 décembre 2010

Baby Challenge Fantasy 2011


J'en arrive à mon genre de prédilection à savoir la Fantasy. Le perfect est quasi indispensable pour moi sur celui-ci. :) J'avais déjà prévu de le priorise pour retrouver cette densité d'univers que j'aime tant.

Voici donc la liste des 20 livres Fantasy les plus plébiscités sur livraddict

1 - L'Assassin Royal, tome 1 : L'Apprenti assassin de Robin Hobb
2 - Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La communauté de l'Anneau de J.R.R. Tolkien
3 - Le Pacte des Marchombres, tome 1 : Ellana de Pierre Bottero
4 - Fablehaven, tome 1 de Brandon Mull
5 - La ligne verte de Stephen King
6 - A la croisée des mondes, tome 1 : Les Royaumes du Nord de Philip Pullman
7 - L'Épée de vérité, tome 1 de Terry Goodkind
8 - Les Mondes d'Ewilan, tome 1 : La forêt des captifs de Pierre Bottero
9 - Harry Potter, tome 1 : Harry Potter à l'école des sorciers de J.K. Rowling
10 - Les bannis et les proscrits, tome 1 de James Clemens
11 - La Quête d'Ewilan, tome 1 de Pierre Bottero
12 - Les Dames du Lac, tome 1 de Marion Zimmer Bradley
13 - Artemis Fowl, tome 1 de Eoin Colfer
14 - Les Aventuriers de la Mer, tome 1 : Le Vaisseau Magique de Robin Hobb
15 - Légende de David Gemmell
16 - American Gods de Neil Gaiman
17 - Le Silmarillion de J.R.R. Tolkien
18 - De bons présages de Neil Gaiman
19 - La trilogie de Bartiméus, tome 1 : L'Amulette de Samarcande de Jonathan Stroud
20 - La Belgariade, chant 1 : Le Pion blanc des présages de David Eddings

Ce sera déjà légèrement plus simple puisque je totalise 11 livres lus jusqu'ici.

Si vous souhaitez vous inscrire, c'est par ici.

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